Responsabilité

Une combinaison divine

16 octobre 2020

Gros plan d'un chariot d'épicerie avec un sac foodrescue.ca à l'intérieur dans une allée d'épicerie

Tout d’abord, ce fut Toronto. Ensuite, le reste de l’Ontario. Puis, la Colombie-Britannique. Maintenant, Loblaw et Second Harvest poursuivent leur relation de 35 ans en s’attaquant à la récupération alimentaire et à la réduction des déchets alimentaires dans le reste du pays.

« Loblaw est un fondateur de Second Harvest, selon moi, affirme Lori Nikkel, chef de la direction de l’organisme de récupération alimentaire. « Second Harvest n’existerait pas sans Loblaw. »

Second Harvest utilise sa flotte de camions pour ramasser les surplus de nourriture dans les magasins de Loblaw et d’autres donateurs. Les surplus alimentaires sont des produits nutritifs pour la consommation humaine, mais qui ne peuvent plus être vendus. L’organisme livre cet excédent de nourriture aux organismes locaux et aux agences de services sociaux comme les refuges, les centres communautaires, les programmes « après l’école » et les banques alimentaires, qui ont tous besoin de plus d’aide que jamais, puisque l’accès à de la bonne nourriture est devenu plus difficile.

Second Harvest gère également FoodRescue.ca(Il s'ouvre dans un nouvel onglet), une plateforme en ligne qui jumelle des donateurs comme des restaurants, des écoles et des entreprises avec un partenaire local qui ramasse et livre les surplus alimentaires à des particuliers. Loblaw a fourni du financement pour le site l’an dernier et depuis, plusieurs de nos magasins de la Colombie-Britannique et de l’Ontario ont adhéré au programme.

Comme toutes autres organisations, Second Harvest a ressenti l’impact de la COVID-19 et Lori estime que chaque Canadien et chaque Canadienne ont vécu l’expérience que vivent des millions de Canadiens chaque jour.

« Pendant la crise de la COVID-19, tous les Canadiens ont connu l’insécurité alimentaire. Chacun d’entre nous », dit-elle. « Les gens avaient peur pour leurs familles, eux-mêmes, car il ne savait pas que la chaîne d'approvisionnement alimentaire était tout simplement en évolution. »

Et d’autres changements s’en viennent. Nous avons actuellement plus de 500 magasins qui font des dons de nourriture, mais nous nous sommes engagés à consacrer un million de dollars sur cinq ans à l’expansion de la plateforme dans nos magasins qui ne participent pas actuellement aux dons d’aliments excédentaires.

Notre objectif? Intégrer le plus grand nombre de nos magasins possible, en commençant dans les Prairies et en continuant en Ontario et en Colombie-Britannique. Une fois que l’Ouest sera bien établi, le plan est de passer à la région de l’Atlantique et au Québec au cours des prochaines années.

« Notre mission consiste à aider tous les Canadiens, et j’imagine que c’est ainsi pour Loblaw aussi », déclare Lori. « Loblaw veut nourrir tous les Canadiens, tout comme nous. J’espère que c’est ce qui se passera. Vous savez… nourrir le monde ensemble. »