Personnes

Tadeu et Luca sont enfin arrivés

26 août 2021

Luca et Tadeu, souriants, à leur poste de travail à domicile

Lorsque Tadeu Granemann est finalement descendu de l’avion en sol canadien à la fin de 2020, le moment représentait l’aboutissement de plus d’un an de planification, de rêves et – il l’admet volontiers – d’anxiété.

Tadeu s’installait au Canada pour commencer son nouveau poste d’ingénieur principal de fiabilité des sites aux Services numériques Loblaw plus d’un an après que le poste lui ait été offert. En septembre 2019, Tadeu était comme de nombreux candidats : emballé par l’occasion et curieux de voir comment se présenterait le reste du processus de demande. Contrairement aux autres candidats à un poste, il ne pensait pas seulement au nombre de rondes d’entrevues qu’il aurait à traverser ou à la façon de négocier son salaire. Originaire du Brésil ayant postulé chez Loblaw pour pouvoir s’installer au Canada, il pensait aussi aux visas de travail, au déménagement intercontinental et à ce qu’il devrait faire pour se bâtir une nouvelle vie dans un tout nouveau pays.

« J’avais passé deux ans et demi à Chicago à apprendre l’anglais, puis ma femme et moi avions déménagé en Nouvelle-Zélande pendant environ neuf mois. Lorsque j’ai vu l’affichage de poste de Loblaw, j’étais de retour au Brésil et j’y travaillais, mais j’avais commencé à envoyer des curriculums vitæ parce que j’ai décidé de vivre à l’étranger encore une fois », explique Tadeu.

Pour Luca Landi, l’un des coéquipiers de Tadeu et autre recrue internationale, le déménagement au Canada depuis le Royaume-Uni était un objectif de longue date. Sa femme et lui avaient déjà tenté d’immigrer auparavant, mais le projet ne s’était pas réalisé. Ainsi, lorsque Loblaw lui avait offert un poste d’ingénieur principal de fiabilité des sites et avait entrepris son processus de relogement, Luca se sentait enthousiaste, mais prudent. 

Malheureusement, la COVID-19 rendit encore plus complexe un processus qui l’était déjà. Mais malgré les défis, tous deux sont ravis d’être au Canada et de travailler pour Loblaw. L’entreprise l’est tout autant, et a également amélioré sa stratégie d’embauche internationale l’an dernier afin de demeurer concurrentielle et d’attirer une variété de travailleurs.

« Chez Loblaw, l’embauche des bons talents est un élément clé de notre stratégie d’affaires, et nous l’avons liée à nos objectifs globaux de diversité, d’équité et d’inclusion dans le but de créer une main-d’œuvre diversifiée, explique Michael de Guzman, directeur de la stratégie en matière de talents. Cela n’est possible qu’en offrant à tous des chances égales. »

Loblaw appuie également les recrues internationales de toutes les façons possibles. L’entreprise offre aux recrues internationales les services de spécialistes des ressources humaines et de l’immigration, de l’aide à la recherche d’une maison et, dans le cas de Luca, même des produits d’épicerie. Lorsqu’il est arrivé au Canada avec sa femme, son gérant lui a envoyé un colis surprise de produits Loblaws pour l’accueillir au sein de l’équipe.

Les deux parties travaillent même ensemble pour déterminer comment, le cas échéant, les nouveaux employés peuvent commencer à assumer leurs nouvelles fonctions dans leur pays d’origine.

Pour Tadeu, il n’était pas logique de commencer à travailler du Brésil. Et alors que l’année passait lentement, il commençait à craindre de ne jamais pouvoir déménager.

« L’entreprise aurait vraiment pu m’abandonner. Elle aurait pu dire “cela prend trop de temps, nous ne voulons plus de vous” », dit-il. Bien sûr, Loblaw n’a pas agi ainsi. Lorsqu’il est descendu de l’avion le 31 décembre 2020, prêt à commencer une nouvelle année, un nouvel emploi et même une nouvelle vie, Tadeu ne ressentait que de la reconnaissance.